Jean Quéval, Première page, cinquième colonne, Paris, Librairie Arthème Fayard, 1945, 358 p. (ASIN: B00178JIMU), p. 62

Deuxième chapitre – Les durs et les mous

 

La France au Travail parut sur deux pages du 30 juin au 4 août, tantôt sur deux et tantôt sur quatre pendant quelques jours, enfin, régulièrement sur quatre à partir du 8 août 1940.

Les manchettes publiées entre le 4 et le 8 août précisaient comme suit la composition de l’état-major : directeur : Jean Drault ; rédacteur en chef : Charles Dieudonné ; secrétaire de rédaction : Henry Coston. Etat-major modifié en octobre 1940 par la disparition de Jean Drault, l’ascension de Charles Dieudonné au poste de directeur et la nomination d’un nouveau rédacteur en chef, Jean Fontenoy, qui ne demeura en place que quelques semaines. Ajoutons que, quelques mois plus tard, un certain Daudé (sic) doublera Dieudonné au poste de directeur.

 

Sixième chapitre – Le mythe et l’escroquerie

(…) De l’équipe rassemblée à La France socialiste par le directeur général Georges Daudet, quatre noms doivent être détachés : Pierre Hamp, Claude Jamet, Hubert Lagardelle et René Château. Eux seuls donnent en effet un peu de ton et de vie à ce journal d’écoliers.

(…) C’est assez pour rendre à leur néant les autres éditorialistes recrutés par Georges Daudet.

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